L'Institut d'Astronomie et d'Astrophysique dans les media



[14/11/2023] Daily Science 14/11/2023: Dans la Grande Ourse, une cavité sort de sa tanière...

[10/11/2023] Cartographier la voie lactée  (disponible également sur le site d'euradio) Interview Alain Jorissen parue dans le 'Siècle des Ampoules' diffusé sur EurRadio

[11/05/2023] Interview Alain Jorissen dans la chronique D'Office

[20/05/2022] Quand l’intérêt des entreprises du spatial supplante celui de la science... et de l'humanité

Communiqué de Presse du Comité National Belge d'Astronomie

Daily Science (20/5/2022)

[13/05/2022] Une valse stellaire à quatre temps

A spectroscopic quadruple as a possible progenitor of sub-Chandrasekhar type Ia supernovae, Nature Astronomy, Thibault Merle et al.





[22/11/2021] Succès scientifiques et images époustouflantes : l’héritage du télescope spatial Hubble The Conversation, Alain Jorissen & Thibault Merle

[12/08/2020] La conquête spatiale, un enjeu géopolitique? Mag international, LN24 (Alain Jorissen)

[27/05/2020] About SpaceX and Starlink Le grand débat, LN24 (Alain Jorissen)

Débat sur la privatisation de l'espace et son impact sur l'observation du ciel. Pour en savoir plus: Un dossier du journal "le Monde"

[08/04/2020]

 Découverte d'étoiles "bi" dans les constellations d'Orion et de la Girafe  (Daily Science)

Les astronomes de l’Université libre de Bruxelles viennent de découvrir un nouveau type d’étoiles dans la constellation d’Orion et dans celle de la Girafe, visibles depuis l’hémisphère nord. Ils ont observé pour la première fois des étoiles « bitrinsèques ». Pourquoi “bi” ? Parce qu’elles sont doublement enrichies en éléments plus lourds que le fer, une sorte de palier dans la vie des étoiles. Mais également parce que ces étoiles sont aussi, et nécessairement, des systèmes binaires. C’est-à-dire que chaque étoile concernée possède une étoile compagnon, qui orbite autour d’elle.

[20/01/2020] L'observation du ciel nocturne menacée par les constellations de satellites "5G"

Le satellite européen d’astrométrie Gaia, qui vogue dans l’espace à 1,5 million de kilomètres de la Terre depuis quatre ans, vient de permettre une exceptionnelle cartographie en trois dimensions de plus d’un milliard d’étoiles situées dans notre Galaxie. Une belle avancée à laquelle plusieurs équipes d’astronomes belges ont activement participé. On retrouve en effet au sein de l’équipe internationale impliquée dans ce projets des chercheurs de l’ULB, l’ULiège, la KULeuven ou encore de l’Observatoire royal de Belgique et de l’Université d’Anvers.

  • [22/12/2017] Une équipe internationale de chercheurs, dirigée par les chercheurs de l'Institut d'Astronomie et d'Astrophysique de la Faculté des Sciences, a réussi à observer les détails sur la surface de l'étoile Pi Gruis, située à une distance de 530 années-lumière de la Terre.


Leur travail est publié dans la revue scientifique Nature: ils ont observé, pour la première fois à la surface d'une étoile, des cellules de convection 60 000 fois plus grandes que celles du Soleil. Ces cellules sont dues au flux de chaleur transportée par la matière qui monte de l'intérieur vers la surface de l'étoile, à l'image des bulles formées par l'eau bouillante dans une casserole.

Ces propriétés valident les modèles actuels décrivant les flux de matière dans les couches les plus externes des étoiles, dans les phases ultimes de leur évolution. Ces observations renseignent aussi sur le futur de notre étoile, le Soleil: si le Soleil suit, comme prévu, les traces de sa cousine Pi Gruis, les 2 millions de cellules de convection actuellement présentes sur sa surface se transformeront en structures géantes comme celles qui viennent d'être découvertes.

Ces observations sont également un exploit technique: reconstruire l'image de la surface de l'étoile et en observer les inhomogénéités équivaut à observer des motifs gravés sur une pièce de 1€, placée à une distance de 230.000 km, soit un peu plus de la moitié de la distance Terre – Lune.

Communiqué de presse ESO

Le Vif

Science et Vie

Altmetric

Daily Science

Sciences et Avenir

Le Figaro

Portraits d'étoiles (Le Figaro)

Newsweek

Space.com

Astronomy

phys.org

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Pour la Science

  • [20/10/2017] Un crash cosmique à l'origine de l'or: les astrophysiciens de l'ULB l'avaient prédit dès 2011!


L'annonce, le lundi 16 octobre 2017, de l'observation non seulement d'ondes gravitationnelles, mais également de lumière émise lors de la fusion de deux étoiles à neutrons, valide une prédiction faite par des astrophysiciens de l'Institut d'Astronomie et d'Astrophysique de l'ULB en 2011, concernant la production d'or et d'autres éléments plus lourds que le fer lorsque deux étoiles à neutrons entrent en collision et fusionnent.









  • [20/09/2017] Une étoile en fin de vie projette une bulle de fumée


Les astronomes ont capturé, au moyen d'ALMA, une magnifique image d'une fine enveloppe de matière entourant une naine rouge exotique baptisée U Antliae. Ces observations permettront aux astronomes d'affiner leur compréhension de l'évolution des étoiles en toute fin de vie.

Dans la peu lumineuse constellation méridionale d'Antlia (la Pompe à Air) , l'observateur attentif détectera, au moyen de simples jumelles, une étoile d'un rouge prononcé dont la luminosité varie légèrement d'une semaine à l'autre. Cette singulière étoile se nomme U Antliae, et de nouvelles observations effectuées grâce au Vaste Réseau (Sub-)Millimétrique de l'Atacama viennent de révéler la présence d'une enveloppe sphérique d'une remarquable finesse à sa périphérie.

Cette recherche est présentée dans un article intitulé “Rings and filaments. The remarkable detached CO shell of U Antliae”, par F. Kerschbaum et al., à paraître dans la revue Astronomy & Astrophysics. L'équipe inclut C. Paladini (Université Libre de Bruxelles, Belgium).

Communiqué de presse ESO



[12/04/2018] Sophie van Eck, la chasseuse belge d’étoiles

Astrophysicienne à l’ULB où elle enseigne actuellement à la faculté des sciences et anciennement chercheuse qualifiée FNRS pendant 20 ans, Sophie Van Eck a participé à une découverte capitale concernant une étoile géante située à 530 années lumière de notre planète, dans la Constellation de la Grue. Elle a eu le privilège d’avoir accès aux télescopes de l’Observatoire Européen Austral au Chili.

[23/2/2017] Commentaire au sujet de la découverte de 7 exoplanètes par une équipe de l'Université de Liège

Dimitri Pourbaix commente la découverte sur le Magazine de Tele Bruxelles

[15/9/2016] Gaia entrouvre la caverne d'Ali Baba aux astronomes

La mission Gaia, destinée à révolutionner l'astronomie en réalisant une carte 3D de notre Galaxie, a rendu ses premiers résultats publics ce mercredi 14 septembre à 12h30. De nombreux scientifiques belges de la KU Leuven, de l'Observatoire royal de Belgique, de l'ULB et de l'ULg, financés par Belspo (l'administration scientifique fédérale), leur institution hôte ou le F.R.S.-FNRS, participent à cette mission, lancée fin 2013 par l'Agence Spatiale Européenne (ESA).
Au terme de sa mission d'au moins cinq ans, Gaia fournira la distance, la vitesse ainsi que la composition chimique d'un milliard d'étoiles. Ce sera là un pas de géant depuis 1997 et la mission Hipparcos, elle aussi de l'ESA, qui a fourni la distance de 118.000 étoiles.
En guise de mise-en-bouche, le consortium de réduction des observations Gaia (DPAC) offrira ce mercredi la distance et le mouvement pour plus de 2 millions d'étoiles. Les astrophysiciens du monde entier n'attendaient que cela pour se lancer dans une étude détaillée de ces étoiles.
"Disposer de la distance d'une étoile permet de directement convertir la quantité de lumière reçue sur Terre en celle émise par l'étoile" précise Dimitri Pourbaix (FNRS, ULB), le représentant belge dans DPAC. "Les astrophysiciens stellaires sont donc directement intéressés par cette moisson de distances, mais ce ne sont pas les seuls. Chaque fois qu'une équipe annonce la découverte d'une nouvelle exo-planète dans la zone habitable d'une étoile, cela suppose la connaissance de la distance de cette étoile. Pour l'instant, les astronomes adoptent les 118.000 distances fournies par Hipparcos et des approximations de distances pour les autres. Dès ce mercredi, ils disposeront de 2 millions de distances précises."
Contact: D. Pourbaix, 0477/223.955, pourbaix@astro.ulb.ac.be
Liens:
  Gaia      http://www.cosmos.esa.int/web/gaia/
  Images    http://www.cosmos.esa.int/web/gaia/media-gallery/images
  Vidéos  http://www.cosmos.esa.int/web/gaia/media-gallery/videos



[12/1/2016] alpha Centauri remis à sa place

En utilisant une vaste quantité de données astronomiques parmi les plus précises possibles, un duo d'astronomes belges a finalement fourni un portrait cohérent de l'un de nos voisins stellaires les plus proches, alpha Centauri, permettant ainsi d'obtenir pour la première fois un accord entre différentes études indépendantes.
Dans un article à paraître dans la revue "Astronomy and Astrophysics", Dimitri Pourbaix (Université libre de Bruxelles, ULB – Faculté des Sciences, Institut d’Astronomie et d’Astrophysique -, FNRS) et Henri Boffin (ESO) améliorent les paramètres du couple d'étoiles formant le système alpha Centauri, qui constitue une vraie Pierre de Rosette pour de nombreuses études astrophysiques. Cette nouvelle étude révise la distance du système et la masse de ces deux étoiles.
"Bien qu'il soit si proche, alpha Centauri était encore loin d'être parfaitement compris et modelisé", souligne Dimitri Pourbaix. "Même si la masse des deux étoiles était souvent donnée avec une précision meilleure qu'un pour cent, plusieurs études de ces vingt dernières années ont obtenu des résultats qui différaient entre eux de plus de 5%."
En s'appuyant sur 11 années de données archivées obtenues avec le chasseur d'exoplanètes HARPS de l'ESO - le spectrographe le plus précis au monde - ainsi que sur 260 années de positions archivées par l'Observatoire Naval Américain, le duo d'astronomes a constitué un ensemble d'observations le plus à jour et le plus précis possible. Grâce à quoi, ils ont pu obtenir des résultats importants, parmi lesquels une confirmation indépendante de la mesure de la distance obtenue avec le satellite Hipparcos de l'ESA.
Le caractère binaire d'alpha Centauri en fait un système parfaitement adapté au calibrage des relations qui impliquent la masse des étoiles. Les étoiles doubles (ou binaires) sont en effet les seuls objets pour lesquels on peut facilement déterminer la masse, au contraire des étoiles isolées. De plus, la distance entre le Soleil et alpha Centauri aide à mesurer d'autres quantités comme le rayon des étoiles, et permet ainsi une comparaison avec les modèles théoriques.
"Il y a actuellement un débat concernant la présence ou non d'une planète autour de la plus petite des deux étoiles d'alpha Centauri, mais ce débat ne pourra être tranché que s'il existe une orbite très précise des 2 étoiles, ce que nous venons enfin d'obtenir" explique Henri Boffin.
"Combien d'autres trésors de ce genre nous attendent dans les archives de l'ESO?" se demande Dimitri Pourbaix, encore stupéfait du fait que cette recherche n'utilise que des données publiques.
L'article, intitulé "Parallax and masses of alpha Centauri revisited", par D. Pourbaix & H.M.J. Boffin est sous presse dans Astronomy \& Astrophysics et une pré-publcation en est disponible à ici.



[8/1/2015] La température et le chronologie de la synthèse des éléments plus lourds que le fer dans les étoiles géantes



Des chercheurs de l'IAA-ULB et de l'Université de Montpellier (France) sont parvenus, pour la première fois de l'histoire, à mesurer la température au coeur de certaines étoiles ainsi qu'à déterminer leur âge. Leur étude est publiée dans le numéro du 8 janvier 2015 de la revue Nature. Concrètement, les astrophysiciens de l'ULB et du laboratoire "Univers et Particules" de l'Université de Montpellier ont utilisé des isotopes d'éléments chimiques particuliers jouant le rôle de thermomètre et d'horloge, et dont les chercheurs ont déterminé les abondances - c'est-à-dire les proportions par rapport aux autres éléments - à la surface des étoiles. A cette fin, ils ont utilisé le spectrographe HERMES, installé sur le télescope Mercator de l'Université de Louvain (KUL) à La Palma (Canaries), et construit grâce à une collaboration entre la KUL, l'ULB et l'Observatoire Royal de Belgique.
Les températures mesurées par les astrophysiciens belges et français concernent les couches profondes des étoiles où se déroule la synthèse des éléments plus lourds que le fer alors que jusqu'à présent, seule la température des couches superficielles était accessible. Ces éléments lourds, après avoir été transportés à la surface de l'étoile par un processus de mélange, seront éjectés dans le milieu interstellaire à la fin de la vie de l'étoile, un scénario qu'a suivi le soleil il y a plus de 4 milliards d'années.



La constellation d'Orion, bien visible depuis l'hémisphère Nord. La température à la surface des étoiles peut aisément être déterminée par leur couleur: par exemple, Betelgeuse (3600 degrés) apparaît rouge et Bellatrix (21 000 degrés) bleue. En revanche, mesurer la température à l' intérieur des étoiles constitue un véritable défi. La constellation d'Orion contient justement deux étoiles géantes rouges de type S étudiées dans notre article. L'une, V1261 Orionis, a permis d'estimer la température de la fabrication des éléments plus lourds que le fer au coeur des étoiles (environ 100 millions de degrés). Il a été démontré que l'autre, o1 Orionis, produit ces éléments lourds depuis 1.3 millions d'années. (Infographie réalisée grâce à Aladin, Centre de Données Astronomiques de Strasbourg)




[24/11/2014] Scrutant le coeur de Mira A et de son partenaire



L'étude des étoiles géantes rouges permet aux astronomes de connaître le futur de notre Soleil. L'une des plus fameuses étoiles géantes rouges dans le ciel est appelée Mira Ceti (la merveilleuse de la Baleine), elle-même membre d'un système double. Cette image obtenue au moyen du radiotélescope ALMA à la longueur d'onde de 900 micromètres, révèle que la matière éjectée par l'étoile géante rouge Mira A a été fortement perturbée par son compagnon Mira B, probablement responsable de la formation de la cavité centrale. Les nouvelles observations de Mira et de son compagnon sont décrites dans cet article publié dans la revue européenne Astronomy & Astrophysics, par une équipe comprenant A. Jorissen and C. Paladini de l'IAA-ULB.
Ces observations complètent l'étude antérieure réalisée par la même équipe au moyen du satellite Herschel de l'ESA.

Credit: ESO/S. Ramstedt (Uppsala University, Sweden) & W. Vlemmings (Chalmers University of Technology, Sweden)



[1/6/2011] Images de Mira Ceti obtenues au moyen du satellite infrarouge HERSCHEL

A. Mayer, A. Jorissen, F. Kerschbaum, S. Mohamed, S. Van Eck, et al. MESS consortium,
Astronomy & Astrophysics Letter, 2011, 531, L4
Panneau (a): Image PACS/Herschel image à 70 µm; (b) à 160 µm; (c) image à 70 µm avec contours et arcs. Le panneau (d) résulte d'une tranche paraboloïdale (représentant l'interface vent - milieu interstellaire) extraite des simulations hydrodynamiques de Mira Ceti réalisées par Mohamed & Podsiadlowski (2007, 2011).


[24/1/2013] Forer plus profondément dans la croûte des étoiles à neutrons



Les réactions de fusion nucléaire au sein des étoiles produisent de nombreux éléments présents sur Terre, à l'exception des éléments plus lourds que le fer. Ces derniers pourraient être créés lors de l'explosion d'étoiles massives en supernovae. Ils pourraient également avoir été produits par la décompression de matière arrachée à la croûte d'une étoile à neutrons. Si les étoiles à neutrons sont à l'origine des éléments lourds, la composition de leur croûte devrait refléter les abondances observées. Dans un article publié dans Physical Review Letters, une équipe internationale de chercheurs, dont Nicolas Chamel et Stéphane Goriely de l'Institut d'Astronomie et d'Astrophysique à l'ULB, rapportent de nouvelles mesures très précises des masses d'isotopes du zinc. Ces mesures remettent en cause les prédictions sur la composition de la croûte des étoiles à neutrons, les couches supposées formées de zinc-82 seraient en fait constituées de nickel-78.




[2/1/2013] Soubresauts dans les modèles de pulsar



Les soubresauts de la rotation des pulsars ont longtemps été considérés comme la manifestation d'un océan de neutrons dans l'écorce de ces étoiles mortes. Dans un article publié dans la revue Physical Review letters, Nicolas Chamel de l'Institut d'Astronomie et d'Astrophysique à l'ULB montre que cette interprétation échoue à expliquer les soubresauts observés dans l'emblématique pulsar des Voiles. Cette conclusion a été indépendamment confirmée par une équipe de chercheurs de l'Université de Southampton. Issus des derniers stades de l'évolution stellaire, les pulsars tournent extrêmement rapidement autour d'eux-même avec des périodes variant de la milliseconde à quelques secondes. Les variations de la période ne sont que de quelques millisecondes par an tout au plus de sorte que les pulsars sont parmi les horloges les plus précises de l'univers. Cependant, la période de certains pulsars présentent des irrégularités. Les scientifiques ont longtemps pensé que les neutrons libres dans l'écorce pouvaient tourner plus rapidement que le reste de l'étoile jusqu'à ce qu'un seuil critique soit franchi. Au delà de ce seuil, le réajustement des vitesses entre l'océan de neutrons et le reste de l'étoile conduit à une brusque diminution de la période observée. Or les calculs montrent que ce scénario est irréaliste parce que les neutrons sont très fortement couplés à l'écorce par des effets d'entraînement non-dissipatifs.




[9/9/2011] Collisions cosmiques forgeant de l’or



Le site cosmique où les éléments chimiques les plus lourds, tels que l’or ou le plomb, sont produits, est sur le point d’être identifié: la matière éjectée lors de la coalescence d’étoiles à neutrons fournit les conditions idéales. Sur base de simulations numériques détaillées, les scientifiques de l’Institut d’Astrophysique du Max-Planck et de l’Université Libre de Bruxelles ont vérifié que les réactions nucléaires prenant place dans un tel environnement conduisent bien à la production des éléments les plus lourds en conformité avec les abondances observées dans notre Système Solaire.

[3/7/2011] Le prix du fonds international Wernaers pour la recherche et la diffusion des connaissances (FNRS) attribué à trois chercheurs (A. Jorissen, D. Pourbaix, S. Van Eck) de l'IAA-ULB pour leurs actions de diffusion de l'astronomie auprès du public.

[23/6/2011] Les feux de Bételgeuse: Une nouvelle image dévoile une vaste nébuleuse autour de la fameuse étoile supergéante

En utilisant l’instrument VISIR, installé sur le très grand télescope (VLT) de l’ESO, des astronomes (parmi lesquels A. Chiavassa, de l'IAA-ULB) ont réalisé une image détaillée comme jamais auparavant de la nébuleuse complexe et lumineuse autour de l’étoile supergéante Bételgeuse. Cette structure, qui ressemble à un feu émanant de l’étoile, est formée à partir de ce monstre stellaire qui répand sa matière dans l’espace.
Communiqué de presse Observatoire Européen Austral
Astronomy Picture of the Day

[6/6/2011] Nicolas Chamel, Chercheur Qualifié F.R.S.- FNRS à l'Institut d'Astronomie et d'Astrophysique (ULB) est le lauréat 2011 du Prix Adolphe Wetrems en Sciences mathématiques et physiques de l'Académie royale de Belgique. Ce prix couronne son travail sur l’étude des propriétés de la matière dans des environnements astrophysiques extrêmes tels que le cœur des supernovae et l’intérieur des étoiles à neutrons.

[22/3/2010] A. Jorissen's & T. Dermine's interview about Printemps des Sciences 2010: Au quotidien & JT 13h (RTBF La Une)

(voir la suite sur la version anglaise)